Une prison d'esprit.

Le bar, lieu de socialisation et de beuverie, lieu où l'on retrouve la peste de la société, et quelques rares fois des gens normaux. Posé entre le désert et le bâtiment géant que l'on nomme 'La Boutique aux Esclaves' où se partageaient le commerce entre plusieurs esclavagistes de l'assujettissement des êtres vivants inférieurs. Dans ce bar, le temps était frais comparé à l'extérieur, il y flottait un son datant d'une ère révolue, une ère où une race dominait toutes les autres. Le vampire était là, dans un coin du bar camouflait dans un voile d'ombre, semblant plonger dans son monde, un verre de sang en main dont il ne cesse de caresser d'un doigt fin les rebords tout en plongeant son regard dans ce liquide vermeil qu'il n'ose pas finir. Aujourd'hui était le jour de divertissement pour lui, le jour de chasse, le jour d'orgueil, le jour rouge. Le jour où, comme maintes fois, il se devait de montrer la supériorité des vampires quand aux autres races. Malgré ses origines humaines, il avait complétement approuvé l'ordre naturel de la nature dans laquelle il était, et aucun des jurons que lui narraient ses ennemis quand à ses pensées racistes n'avait faillit à son esprit, dû moins c'est ce qu'il croyait.
Avec finesse, l'ombre noir disparaissa alors de l'établissement, laissant derrière lui 1 Zenny de pourboire. Il avait le fort de pouvoir passer inaperçu, n'ayant pas l'habitude d'être reconnu, et ne voulant pas l'avoir. Il pénétra (le pervers) dans le haut bâtiment des esclaves, entendant les cris des inférieurs, sentant la puanteur de ses êtes pourries et leurs mécontentement, la peine de ceux qui n'avait pas compris que dans se monde il existe un ordre naturel, qui se croyaient à l'égal de la race parfaite, la race immortelle. Au fur de ses pas, il regardait les bêtes qui se prélassaient devant lui, emmené à un autre endroit, celles qui se faisaient acheté, celles qui souffraient, et celles qui attendaient leurs tours, ces choses de sang qui les abreuvent, il les désirs, il veut toutes les mordre, il veut gouter de tout leurs sangs de chiens, leurs sangs souillés. Soudain, l'une des choses semblait avoir atteint sa distraction, une chatte (pervers). Elle était nue (pervers), elle était blanche, d'un pâle crème, d'un jolie pâle, d'un pâle qu'on aurait voulus léché. Ses formes étaient fines et gracieuses, on pouvait y constatait une certaine perfection du corps à un âge physique assez jeune, avec le temps, cette chatte aurait pris des airs de lionne. Neko, quelle est ton nom ? N'es tu point doté de parole ? Dieu à la place d'une langue, ta t'il offert la beauté éternelle ? Elle aurait été, pour la famille, la parfaite maid, jeune et fine, cependant ses griffes n'avaient pas l'air d'être accommodés à la vie de noble, elle semblait faite pour autre chose, et c'est cet autre chose que le jeune homme désira découvrir. Des pas gros & bruyants vinrent alors en toute halte brusqué la plate-forme, laissant apparaître aux cotés de la chatte un homme bourrue aux yeux scintillant de désirs, un humain, du bétail qui élevait un autre bétail. Il avait pris compte de l'intérêt du vampire pour la jeune hybride, et semblait se croire déjà dans un bain d'or.

« Elle vient avec moi. » rétorqua le vampire de sa haute voix aux tons suave.
« C'est entenduuuuuuuuuuu Monseigneur, et pour.. le payement ? »
« Demain, les Vlad Ţepeş vous créditeront de 1200 Zenny. »
« Au plaisir.. »

Son taux rauque avait alors changeait lorsque la Neko échangea ses liens & sa cage, contre un collier à grelot gravé aux armoiries de sa famille d'une manufacture d'orfèvre de renommée. Son regard s'approcha du sien, il lui murmura qu'elle lui appartenait à présent, et qu'elle ferait ce qu'il lui demandera si elle veut connaître un destin envieux. Prenant sa main dans la sienne, il l'a tracta alors à l'extérieur du bâtiment, aux portes du déserts, dans un endroit où, il allait s'amuser (pervers).

Main dans la main, comme deux mignon amant. Se tentant, se décidant. Se demandant. La petite avait était vêtu pour partir. Une cape lui enroulé le corps. Un habit bien misérable pour une si jolie demoiselle. Un habit bien salle et a l'odeur forte. Mais la fille ne semblait pas vraiment s'en soucier pour le moment. Ces deux pupilles doré s'agitait et regardait un peu partout autours d'elle. Fendu de noir, comme le grelot qui sonnait autours de son cou a chacun de ses pas.

Puis, d'un coup elle s'arrêta. Tirant sur la main de 'Maitre' pour lui montré du bout de son autre patte une vitrine de vêtement. Si il fallait se battre, autant le faire dans quelque chose ou elle pourrait bouger ?
Quoi ? Elle avait deviné ? Bien évidement; Vous savez, cette instinct animal qui fait se dressé chaque créature lorsqu'il sent son maitre revenir a la maison. Ou le faire partir bien au contraire. Oui, c'est se que les animaux compréhension le mieux. Mais, il faut du temps en général. Pourtant, celle ci avait comprit bien vite. Peut être les mots doux du vampire avait laissé échappé. On pu voir alors, sur ses doigts, des espèces de dureté. Montrant bien des choses mais une en particulier devait être plus impressionnante que les autre : son habilité au arme a feu. Oui, c'était se genre de dureté qu'elle avait au bout des doigts, au creux de la paume de main. Lâchant la main du vampire elle s'engouffra dans la boutique. Faisant crié un vampire désireux de laissé sa boutique au calme. Mais le Chat n'avait que faire des cris, n'en faisant qu'a sa tête et retiré, en la jetant, cette grossière cape que l'on met a un cadeau usé. Elle Ne se jeta pas sur les vêtements les plus beau et les plus richement décoré. Elle ne regarda pas non plus les souillures qu'elle aurai dut avoir l'habitude de portait lorsqu'elle devait être au centre de dressage. Ses griffes se posèrent plutôt sur des vêtements beaucoup plus commode pour bouger et pour se déplacé. Un corset, serré sur le devant d'un lacé noir. Le cuire de se derniers brillé, mettant en valeur la poitrine peu volumineuse de l'animal. Ses hanches furent vêtue d'une jupe et de collant serré galbant ses cuisse et enjolivant encore le personnages. Puis elle se retourna. Se tournant vers des choses beaucoup plus masculine. Comme des ceinture de port d'arme. elle en prit une la passa a sa taille, fermant l'anneau d'argent de cette dernière sur le flanc. Faisant glissé son étui d'arme un peu plus sur le coté.

Et soudain elle s'accroupit au sol, semblant prête a attaqué, comme si elle avait une arme a la taille. Son regard sérieux, son sourire fin, on aurai presque pu y croire si elle n'avait pas dégainé qu'un index tendu.
Un bruit de révolvers se fut entendre, tout droit extirpé de la gorge nouer de la chatte.

Puis elle se redressa s'approchant de vampire, ses belles oreilles de chat noire dresser et frétillante sur sa tête, semblant ronronné, tout près du vampires frottant sa tête contre son bras et l'entourant de sa queue noirs.

Elle était belle, terriblement innocente semblait il. Mais très belle. Jouait elle de cette innocence ? L'était elle vraiment ? En tout cas, se qui était certain, c'est que même si la nature lui avait arraché les cordes vocale qu'elle aurai pu avoir, elle lui avait donner un si merveilleux visage. Et des yeux ! Des yeux ressemblant a des étoiles brillant dans une belle nuit d'été.

" Miouuu "

Mais bon, on comprenait vite qu'au fond : elle était plus chat que humaine. Se qui pouvait être assez dérangeant parfois pour jouet. Comprend elle simplement se qui est dit ? Elle vous direz peut être que oui, mais qu'elle aime faire semblait que non. Si seulement elle pouvait vous répondre.

Amuse toi, fait ce qu'il te plaît, habille toi comme tu le souhaites, et jouit d'une certaine liberté, à mes cotés tu seras, mon arme tu deviendras.
Elle était jolie sous ses habits de cuirs et de tissus, elle avait du goût, peut être même plus qu'une humaine, mais il en reste qu'il pensait fortement qu'une beauté comme la sienne est un gâchis pour une race pareille, ou peut-être est-ce là l'objet de son charme ? De sa race souillée, elle est reste si belle, si innocente, mais pas pour autant gentille. Une féline cachant bien son jeu, à l'aspect d'une enfant, et la voix manquante, un tout faisant un véritable animal de compagnie, qui comblerait les fantasmes les plus grands d'un homme. Qui n'a jamais rêvé de cela ? Mihael. Il ne voyait en elle aucune convoitise charnelle, si ce n'est celle de l'a voir se battre sur le terrain, celle de la voir exterminée sa race, voir de quoi est capable cette inférieure, cette souillée, cette chienne, cette fille de race bâtarde. Il l'a rechigne, mais pour autant ca ne lui déplait pas de l'a voir s'amusait, c'est un certain salut qu'il trouve à lui donner de la joie, un salut en contradiction complète avec la tenue qu'il se doit de respecter en tant que légionnaire de sa famille. D'un signe de l'œil, il fit comprendre à l'homme que les dégâts qu'elle avait causé n'en était pas. D'un signe de main, il lui fit comprendre de tourner l'œil lorsque dénudée elle fut. Il se rapprocha légèrement d'elle lorsqu'elle fit de même, se laissant empoigner le bras de sa queue, se laissant imprégné de son odeur de femelle hybride, se laissant apposé quelques poils sur son costume noir, se laissant en quelque sorte, assujettit, aliénée à cette enfant & ses envies de coquetteries. Était-ce le désir de la voir heureuse qui poussa ce léger sourire à se dessinée sous son visage ? ou bien la pensée de voir une tigresse sous ses ordres dans le champ de bataille ? Je ne saurais vous le dire, et lui de même, car c'est bien de ce comportement qu'il a peur.
Deux doigts vinrent relevé la tête de la Neko, plongeant son regard dans celui du vampire, laissant infusé un des pouvoir de la race suprême dans l'esprit de la chatte, celui du charisme, celui du contrôle, le pouvoir des Dieux, un regard persistant, un langage silencieux, il lui fit comprendre que le maître, c'était lui.

« Allons-y. »

Sa main s'enfila dans la sienne, et de même que pour la boutique d'esclave, ils sortirent ensemble, côte à côte, main dans la main, ne laissant chaque sur l'autre, aucune appréhension de contrôle, l'équité parfaite à première vue.
Quelques pas plus tard, la vue du moindre bâtiment avait laissé place à un désert aussi sec que aride, aussi dangereux que infâme, aussi jaune que sinueux. Et dans leurs poumons, s'enivrait une odeur de bête, tel un liquide nocif pour leurs santés, mais bon pour leurs plaisirs. La puanteur se rapprochant, l'esprit de chasse se ravivant, le combat, le rixe, la passion, l'amour du sang, le diable se lève, le vampire se réveille.